FETES & FESTIVITES
07 décembre 2006
Au Maroc, pays des sensations fortes, un programme chargé de cérémonies et de réjouissances viennent ponctuer l ’ année. Par ailleurs, il existe quatre types de fêtes: Celles à caractère religieux, qui sont fixées par le calendrier lunaire, d ’ autres nationales célébrant des événements qui marqué l ’ histoire du pays; les Moussems, qui mêlent, religieux, profane et traditions, et, pour ne oublier, les incontournables Festivals, qui sont pour la plupart d ’ ordre international et s ’ ouvrent particulièrement au monde occidental.
 
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FETES NATIONALES
Fêtes Nationales:
IndépendanceAnniversaire de l’Indépendance: ou Manifeste de l’Indépendance, célébré le 11 Janvier, date à laquelle S.M. LeRoi Mohammed V avait présenté le Manifeste, demandant la reconnaissance de l’Indépendance du Maroc, son intégritéterritoriale et de sa souveraineté nationale.

Fêtes Nationales: Fête du Trône
Fête du Trône: le 30 Juillet, appelée aussi «Aid El Arch», cette fête commémore l’accession des Souverains au Trône Alaouite. Au temps de Feu S.M. le Roi MohammedV, la fête du Trône se célébrait le 18 novembre, sous celui de Feu S.M. le Roi Hassan II, c’était le 03 mars. Aujourd’hui, sous le règne de S.M. le Roi Mohammed VI que Dieule glorifie. c’est chaque 30 Juillet qu’est célébrée cette solennité. A cette occasion, des réceptions grandioses sont données au Palais Royal, ainsi que toutes les villes, provinces et villages du Royaume sont illuminés d’irrésistibles décors et vivent un temps de fête. S.M. le Roi prononce toujours un important discours à cet événement auguste.

Fêtes Nationales:
14 AoûtAllégeance à l’Oued Ed-Dahab: le 14 août.

Fêtes Nationales: 20 Août
Anniversaire de la Révolution: le 20 Août. A ce jour de l’année 1953, il eût l’exil de feu S.MMohammed V et de la Famille Royale à Madagascar, d’où le déclenchement de «laRévolution du Roi et du Peuple».

Fêtes Nationales: Fête de la Jeunesse
Fête de la Jeunesse: le 21 Août, commémore le jour de naissance de S.M. Le Roi MohammedVI. Au temps de feuS.M. Le Roi Hassan II, c’était le 9 Juillet 1929.

Fêtes Nationales: Marche Verte
Anniversaire de la Marche Verte: le 16 novembre. En 1975, et à la demande de feu S.M. le Roi Hassan II, unemarche comportant quelque 350 000 volontaires venus de toutes parts du Royaume, avait pour objet: réintégrer l’ancienSahara occidental. Alors, c’est à l’action de notre feu Roi que nous devons la récupération pacifique de nos provincessahariennes, et la célébration de cet événement qui fait la fierté de tous les marocains d’hier et d’aujourd’hui.

Fêtes Nationales: 18 Novembre
Fête de l’indépendance: célébrée le 18 novembre, cette solennité dure trois jours, en souvenir de ces trois journées 16,17 et 18 novembre de l’année 1956, lorsque le regretté Souverain S.M. le Roi Mohammed V regagna son pays aprèsson exil en Corse, puis Madagascar. Cette fête est marquée traditionnellement par un discours Royal, et rehaussée d’undéfilé des Forces Armées Royales toujours suivies avec admiration par des foules enthousiastes, le tout clamant àhaute voix: «Dieu, la Patrie et le Roi».
 
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FETES RELIGIEUSES
Mois de Ramadan:
Le mois de Ramadan représente le mois sacré ou tous les musulmans procèdent au jeûne à partir du lever dusoleil jusqu’au coucher. Ce mois se distingue de tous les autres de par son ambiance nocturne, où, familles et amisse retrouvent au moment de la rupture du jeûne pour déguster la traditionnelle soupe marocaine (Harira) et les savoureuxpetits gâteaux au miel (Chebakia) ainsi que d’autres pâtisseries et friandises. Ce mois est marqué aussi par la nuitdu destin (Laylat El Kader), soit la nuit du 26ème jour du mois de Ramadan, ou fidèles s’empressent en foules, souventen costumes tous neufs, pour se diriger vers les mosquées et implorerle Dieu tout puissant.

Aid Es-Seghir:
Cette journée marque la clôture du mois de jeûne. C’est aussi symbole de grâce et de pardon, l’événement se passe en repas familiaux au cours desquels on échange des souhaits et l’on se pardonne mutuellement les fautes qu’on a à se reprocher.

Aid El Kébirr:
Cette fête est appelée aussi «fête du Sacrifice», commémorent ainsi, selon le Coran, le sacrifice d’Abraham, prêt à immoler son fils Ismal sur ordre de Dieu, mais y renonçant à l’appel d’un ange qui lui apporte un mouton à sacrifier en échange. Au Maroc, par une prière unique en commun à la «Msallah», en dehors des remparts de la ville. A Rabat, la capitale du pays, le Roi procède au sacrifice du mouton, cependant, le signal de la fête est ainsi donné, alors, honneur à tout le peuple de suivre.
 
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MOUSSEMS
Moussem Moulay Idriss: (Fès I Septembre)
Cet événement est l’hommage de la ville entière à son saint patron et représente l’un des plus importants du pays. Lessyndics des corporations, soutenus des notables de leurs corps de métiers, font une collecte. Ces contributionsserviront à couvrir les frais des festivités et le montant des offrandes. La hausse du Mausolée du Saint, en soie bordéed’or, constitue le tribut annuel des tisserands. Marchands, tanneurs, dinandiers, forgerons, cordonniers, offrent destaureaux prétendus aux sacrifices et d’énormes bougies colorées et décorées pour l’illumination du sanctuaire. Legrand jour anive. L’exhibition des offrandes que conduit une longue et fracassante parade commence dès le matin et sepoursuit jusqu’au coucher du soleil.

Moussem Moulay Idriss Zerhoun: (Meknès)
C’est la plus grande fête religieuse que connaît cette petite ville sainte, ville étalée sur un éperon rocheux, dominant lavallée de l’Oued Khoumane et la plaine de Volubilis. Celle-ci abrite le mausolée du fondateur de la première dynastie arabe ayant régné au Maroc «Les Idrissides». Chaque année, à la fin de l’été, les différentes corporations de la médina viennent, les unes après les autres, rendre hommage à leur saint, apportant ainsi de nombreuses offrandes et sacrifices accompagnés de chants et de musiques dont la reproduction de nombreuses processions de troupes folkloriques telles que les Aissaouas, les Hmadcha, et les Hal Touat.

Moussem Moulay Abdellah: (El-Jadida /Août)
La cité de Moulay Abdellah se situe à environ 10km à l’Ouest d’El Jadida. Là où se déroule chaque année ce Moussemgrandiose groupant des milliers de personnes venant de toutes parts du Royaume et autres. Son immense célébrité est due à ses splendides fantasias.

Moussem des Fiancés: (Imiichil I Septembre)
Imilchil est un petit village du Haut Atlas qui se trouve à 2600 mètres d’altitude. Il est de coutume que les jeunes filles de la région se marient le jour du Moussem. Autrefois, un Saint homme bénissait les unions à Agdoul et la légende dit qu’elles vivaient toujours dans la joie et le bonheur. C’est sur l’emplacement ou est enterré cet homme vénéré du HautAtlas que se tient cette cérémonie de fiançailles. C’est l’occasion pour quelques 30.000 personnes des Hauts--Plateaux de se rassembler sous les tentes pendant une durée de trois jours avec leurs troupeaux, leurs chevaux et leursdromadaires. Alors, aux jeunes filles d’évaluer leur beauté, et de se parer de leurs magnifiques bijoux et de danser pendantde longues heures, avant que leur destinée les emmène là où leur nouveau refuge les attend.

Moussem de Guelmim: (Asrir I Juin)
Cette festivité à caractère plutôt commercial, marque le rassemblement d’un nombre inconsidérable de dromadaires. Lemoussem connaît un franc succès auprès de tous les visiteurs quant aux somptueuses festivités qui l’accompagnent et plus particulièrement la danse de «la Guédra» que vous pouvez admirer paisiblement à partir de votre tente et autour d’un succulent méchoui.

Moussem de Tan Tan:
Moussem de Tan Tan ou le grand rassemblement des Hommes Bleus (fin Mai-début Juin):Dans cette petite cité en plein Sahara, se déploie chaque année un immense rassemblement de toutes les tribus mitoyennes à l’occasion du Moussem Sidi Mohammed Maa El Aynine qui couvre à la fois un caractère religieux et commercial.

Moussem des Roses:
Moussem des Roses (Kelaa des M’Gouna / mi-Mai): Au cours de cette journée, et dans un cadre des plus féeriques, sedéroulent des manifestations diverses parmi lesquelles on trouve: folklore, expositions artisanales, une pléiades de charsfleuris formant ainsi un petit paradis roulant, élection de «Miss Rose» suivie d’une agréable randonnée à dos dechameaux, et pour clore en beauté: une extraordinaire excursion dans la vallée des roses.

Moussem des Cerises:
Moussem des Cerises (Sefrou / Juin): Trois journées de fête, de joie et d’allégresse, où de nombreuses compétitionssportives, une fantasia, une retraite aux flambeaux et des attractions foraines ont lieu, le tout suivi de l’élection de«Miss Cerisette» bien sûr après avoir assisté au défilé de son cortège.

Moussem des Dattes:
Moussem des Dattes (Erfoud / début Octobre): Erfoud, ville de fondation coloniale, a gardé les arcades crépies de rose etdes alignements de Tamaris; son attrait réside dans sa situation au bord de l’oued Ziz, en plein coeur du Tafilalt.Dans sa région, où poussent près d’un million de palmiers, se déroule annuellement cette magnifique fête. Cependant, tous les habitants de la région procèdent en familles ou entre amis à la récolte des dattes, par laquelle on acquière une gamme de production très étendue, notamment: Bouzkri, Boufegous, Majhoul, Bouslikhan et autres...
 
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FESTIVALS
Festival des Arts Populaires ou Festival Folklorique (Marrakech- Juin):
Chaque année au mois de Juin, Marrakech vibre au rythme de son Festival Folklorique, qui se passe dans le cadre impérial du Palais El Badi, ce somptueux palais dont l’immense cour est recouverte de tapis et de décors traditionnels aux mille et une facettes, est prêt pour accueillir musiciens, chanteurs, danseurs, tous issus du monde de l’art et de la tradition populaire au Maroc; sans oublier les milliers de spectateurs venus de partout savourer ces grands moments. On y trouve un panache réunissant, et les danses rituelles de l’Atlas, et celles d’origine saharienne comme la «Dekkah», et la«Guedra» ou encore «les danses rituelles de Gnaoua», cérémonies mystiques héritières des cultes animistes del’Afrique noire.

Festival de Musique Gnaoua d’Essaouira (Essaouira - Juin):
Cet événement a pour objet de rassembler les meilleures formations de la Musique Gnaouie, ainsi qu’une multitude degroupes de Jazz Américains et Européens. Ce spectacle a vu le jour pour la première fois en 1960, ce ffit une tellerévélation que, tout de suite, ce festival prit place parmi les grands «Shows» de classe mondiale.

Festival des Musiques Sacrées(Fès - Mai/Juin):
Fès, Capitale Spirituelle du pays, devient le lieu, chaque année, de rassemblement et de convergence de cultures qui secôtoient dans le monde, sans se connaître. Placé sous le thème de la mondialisation, cet événement né en 1994, a d’ores déjà acquis une aura internationale...

Festival de Jazz aux Oudayas(Rabat - Octobre):
Reflétant ainsi parfaitement les ambitions du partenariat Euro-Méditerranéen évoqué lors de la conférence de Barceloneen 1995, cet événement aura lieu l’année suivante, et sera imposé comme un haut lieu de rencontres, d’échanges etd’expressions, ayant comme principal objet le développement de ce que l’on appelle aujourd’hui le Jazz européen, tout en permettant à l’occasion, l’ouverture de la scène aux jazzmen marocains dont la musique syncopée est profondément ancrée dans les traditions millénaires du Maghreb.

Festival International du Film (Marrakech - Septembre):
Cet événement solennel permet, au delà de son impact substantiel sur les plans économique et touristique « la création non seulement d ’ une plate-forme de rencontres, d ’ échanges et de dialogue mais également une promesse de collaboration entre ceux qui font et aiment le 7 ème art. Le festival en est seulement à sa deuxième édition en cette année de 2002, il sera désormais organisé par la (Fondation du festival International du film de Marrakech) et présidé par Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid.
 
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FESTIVALS
Festival des Arts Populaires ou Festival Folklorique (Marrakech- Juin):
Chaque année au mois de Juin, Marrakech vibre au rythme de son Festival Folklorique, qui se passe dans le cadre impérial du Palais El Badi, ce somptueux palais dont l’immense cour est recouverte de tapis et de décors traditionnels aux mille et une facettes, est prêt pour accueillir musiciens, chanteurs, danseurs, tous issus du monde de l’art et de la tradition populaire au Maroc; sans oublier les milliers de spectateurs venus de partout savourer ces grands moments. On y trouve un panache réunissant, et les danses rituelles de l’Atlas, et celles d’origine saharienne comme la «Dekkah», et la«Guedra» ou encore «les danses rituelles de Gnaoua», cérémonies mystiques héritières des cultes animistes del’Afrique noire.

Festival de Musique Gnaoua d’Essaouira (Essaouira - Juin):
Cet événement a pour objet de rassembler les meilleures formations de la Musique Gnaouie, ainsi qu’une multitude degroupes de Jazz Américains et Européens. Ce spectacle a vu le jour pour la première fois en 1960, ce ffit une tellerévélation que, tout de suite, ce festival prit place parmi les grands «Shows» de classe mondiale.

Festival des Musiques Sacrées(Fès - Mai/Juin):
Fès, Capitale Spirituelle du pays, devient le lieu, chaque année, de rassemblement et de convergence de cultures qui secôtoient dans le monde, sans se connaître. Placé sous le thème de la mondialisation, cet événement né en 1994, a d’ores déjà acquis une aura internationale...

Festival de Jazz aux Oudayas(Rabat - Octobre):
Reflétant ainsi parfaitement les ambitions du partenariat Euro-Méditerranéen évoqué lors de la conférence de Barceloneen 1995, cet événement aura lieu l’année suivante, et sera imposé comme un haut lieu de rencontres, d’échanges etd’expressions, ayant comme principal objet le développement de ce que l’on appelle aujourd’hui le Jazz européen, tout en permettant à l’occasion, l’ouverture de la scène aux jazzmen marocains dont la musique syncopée est profondément ancrée dans les traditions millénaires du Maghreb.

Festival International du Film (Marrakech - Septembre):
Cet événement solennel permet, au delà de son impact substantiel sur les plans économique et touristique « la création non seulement d ’ une plate-forme de rencontres, d ’ échanges et de dialogue mais également une promesse de collaboration entre ceux qui font et aiment le 7 ème art. Le festival en est seulement à sa deuxième édition en cette année de 2002, il sera désormais organisé par la (Fondation du festival International du film de Marrakech) et présidé par Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid.
 
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FOLKLORES
Folklore Ahidouss:
L ’ Ahidouss du Moyen Atlas, que les danseuses et danseurs d ’ Oulmès et Khénifra savent exécuter dans sa pureté originelle, est un enchantement visuel; les femmes sont, pour la plus part, très jeunes et fort jolies; les robes, influencées par les costumes citadins, sont de couleur claire et gaie; hommes et femmes forment un grand cercle et se balancent au rythme du «Bendir», ils esquissent des figures simples, avancent et reculent; les gestes restent discrets, empreints de pudeur et de dignité, pendant la danse, les poètes récitent leurs œuvres.

Folklore Ghiatas:
Les Ghiatas: surnommés les guerriers, fusils en mains, ils dansent au son du tambour et des musettes. Ils ne procèdent pas au chant, mais poussent des cris sourds et cadencés, les danseurs simulent des cavalcades, s ’ amusent des armes comme avec des jouets, les mettent sur leurs têtes, ils épaulent, tournent le canon de leur fusil vers le sol et, sur l ’ ordre bref, font exploser leur charge de poudre, mettant en joue un ennemi imaginaire. Là se résument les principaux attraits de cette troupes guerrière.

Folklore Gnaoua:
Les Gnaouas: descendants d ’ anciens esclaves issus de peuples originaires d ’ Afrique Noire, leur danse appartient à la musique de confrérie. A travers le Maroc, les Gnaouas sont principalement maîtres musiciens, joueurs de crotales, des voyantes, des médiums ou des adeptes. Ils pratiquent un rite de possessions allant quelquefois jusqu ’ à la transe, appelée «derdeba», ce rite se déroule uniquement la nuit, durant laquelle sont invoqués des saints et des entités surnaturelles. Les instruments utilisés ne sont autres que de «Guembri» sorte de luth tambour à registre bas, les «qraqech»crotales et, des tambours de grande dimensions.

Folklore Dekkah Marrakchia:
La Dekkah Marrakchia: Ce Divertissement rythmique n ’ est pas celui des professionnels mais d ’ artisans et de petits commerçants de la ville de Marrakech; ils forment cet orchestre étrange, composé essentiellement de tambourins en terre cuite de différentes dimensions; les battements des mains s ’ accélèrent, les voix aussi suivent, l ’ ensemble crée une homogénéité incroyable. L ’ ambiance est des plus explosives quant à l ’ enchaînement qui se fait sans aucune pause.

Folklore Guédra:
La Guédra: les attitudes et le gestuel de cette célèbre danse issue de la splendide région de «Goulmine» située dans le sud marocain, relèvent d ’ un symbolisme fort ancien, il est évident qu ’ on assiste là, à la reconstitution de quelque cérémonie rituelle mystico érotique dont l ’ origine revient à la nuit des temps. Cette danse est caractérisée, au vu du rythme de la «Guédra» qui signifie marmite en arabe (sorte de tambour de terre cuite recouvert d ’ une peau), par l ’ émergence des mains de la danseuse aux doigts chargés de bagues, les yeux fermés comme en extase, affectant ainsi un mouvement de balancier. Cette danse reste l ’ une des plus riche et spectaculaire du folklore marocain.

Folklore Ahouach:
C ’ est la célèbre danse des vallées du Haut-Atlas( région de Ouarzazate). Debout, des femmes aux longues robes multicolores attendent, en cercle, figées. Au centre de ce cercle, blottis souvent autour d ’ un grand feu, des hommes, vêtus de leurs amples «Djellaba»blanches, chacun tient en ses mains un «Bendir»(sorte de tambourin garni d ’ une peau tendue). Dans le silence de la nuit, éclate une mélopée lancée sur un ton suraigu. Une sorte de long cri plutôt qu ’ un chant; tous les tambours, sur un ton commun, lui répliquent; alors, surgit le chant des hommes;il monte, s'accroît et se rue vers le ciel, les femmes, à leur tour, épaule contre épaule, ripostent, le rythme s ’ allonge et se rallonge lentement, parfois même jusqu ’ au lever du jour.
 
posté par .:: Kounouz Biladi ::. à 10:58 AM | Permalink